ALIMENTATION. INTERNET PEUT AIDER LES PETITS PRODUCTEURS.
Comment ? Un site, où, des entreprises regroupent leurs inventaires permet de mutualiser les coups de transports. Il faut prévoir d'effectuer les livraisons dans un rayons de 60 km. Cela répond à une tendance venue du concept hérité de AMAZON ou EBAY et à une demande de plus en plus importante d'un public qui ne souhaite plus se déplacer pour faire ses courses.
Pourquoi ? Il faut avoir à l'esprit que le consommateur achète un service avant d'acheter un produit. Donc par-ce-que une journée n'a que 24 heures, moins 8 heures de sommeil, moins 7 heures de travail etc. Le consommateur à besoin de ce service.
Le concept c'est :
UNE CHAÎNE D'APPROVISIONNEMENT COURTE.
La viande, les produits laitiers, les fruits et légumes du supermarché ont beaucoup de chemin à parcourir avant de se retrouver sur les étales des supermarchés, car la chaîne d'approvisionnement s'étend des négociants et grossistes aux entreprises d'emballage et aux distributeurs. Il y a beaucoup d'étapes inutiles et coûteuses qui sont au final payés par les producteurs étranglés par les achats à bas coûts de la grande distribution.
Pour rémunérer le producteur équitablement, sans pénaliser le consommateur, il faut acheter la viande, les légumes et les fruits directement sur place, emballer sur place dans des sachets en papier et déposés directement dans la caisse qui servira à la livraison. Les commandes sont faites sur internet et livré à domicile. En plus la livraison peut-être neutre en CO2.
100% BIO (et si possible mieux que bio).
La viandes, les produits laitiers, les légumes et les fruits proviennent de producteurs biologiques contrôlées, déjà attentifs aux méthodes de culture respectueuses de l'environnement. Cela profite non seulement à la nature, mais aussi à la saveur, qui est bien meilleure.
EMBALLAGE DURABLE. Les produits biologiques emballés dans du plastique ? D'une manière ou d'une autre, ça ne convient pas - des cartons et des emballages recyclables à 100 % sont la logique même. Jour après jour, les livraisons sont optimiser afin d'économiser encore plus de déchets d'emballage à l'avenir. Ces emballages peuvent être fabriqués par une entreprise locale et partenaire.
PLANIFICATION DES CULTURES.
Les producteurs partenaires peuvent collaborer pour planifier les champs ensemble. De cette façon, tant la qualité des produits que les finances des producteurs sont optimisés.
PAS DE GASPILLAGE DÛ À L'AGRICULTURE DE MASSE. Les supermarchés ne peuvent pas planifier exactement combien, d'aliments frais, leurs clients achèteront en fin de compte. Cela conduit généralement à des sur-commandes qui finissent souvent à la poubelle. Inversement les commandes en ligne permettent de savoir exactement combien de fruits et légumes les clients commandent semaine après semaine. Pas d'attente sur les étagères de magasin et il n'est commandé que la quantité qui est réellement consommée. Donc des produits frais !
NE RIEN LACHER SUR LES NORMES.
Des normes exagérées ? Non. Les agriculteurs peuvent se concentrer entièrement sur la culture durable, car ce qui compte pour le client, c'est le goût. La seule chose qui compte c'est que les produits soit frais et sain.
Le concept que j'ai ébauché dans mon bloc n'est pas nouveau, il fonctionne depuis 1985.
Je voudrais réunir des producteurs bio pour le mettre en application.
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Dans l'attente de vous lire.
Gilbert EGLOFF
Pour nous contacter : gilbert.egloff@egloffg.com
Pour en savoir plus : https://lavisibilitesurinternet.blogspot.com/2019/07/quelle-strategie-avoir-pour-faire-venir.html
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